Bienvenue où

LUDWIG de Luchino Visconti avec Helmut Berger est l’un des films préférés d’Olivier Dutel.
Refuge. C’est ainsi que fut nommé ce site-atelier.

Vous trouverez le curriculum vitae biographique d’Olivier ici.


Pour ses réalisations en cours, cliquez sur workshop.


Physiquement, il passe beaucoup de temps au Gran Lux, un espace cinématographique (studio, laboratoire, projection, imprimerie, archives) qu’il a contribué à créer à Saint-Étienne en 2003.

Une collection d’émulsions, un film sans fin, une lucarne sur le cosmos d’une nuit polynésienne…: pour accéder à ses archives, un mot de passe est nécessaire. Sinon, certains éléments sont visibles .

Welcome where

LUDWIG by Luchino Visconti starring Helmut Berger is one of Olivier Dutel’s favourite films.
Refuge. That’s where the name of this workshop-site comes from.

Olivier’s biographical curriculum vitae can be found at here.


For its current productions, click on workshop.

Physically, he spends a lot of time at the Gran Lux, a cinematic space (studio, laboratory, projection, print shop, archives) that he helped to create in Saint-Étienne in 2003.

A collection of emulsions, an endless film, a skylight on the cosmos of a Polynesian night…: to access its archives, you need a password. Otherwise, some elements are visible here.

« Il me demandait de rester avec lui sur le plateau. « Installez-vous, c’est votre maison ici. Voici vos vêtements, regardez les. » Dans les tiroirs il y avait des chemises superbes que je devais porter dans le film. Des ustensiles de toilette raffinés fait par des orfèvres anglais à la fin du siècle dernier. Ils étaient là dans un tiroir, cachés. La caméra ne pouvait pas les voir, ne pouvait pas les montrer. Et je disais à Luchino Visconti : pourquoi ne les voit-on pas ? Et Visconti répondait : « Ces objets sont là pour vous. Pour vous seul. C’est à vous de les voir. Si vous les regardez, vous serez plus proche du personnage. » C’est un luxe que je n’ai jamais rencontré avec d’autres metteurs en scène. C’est peut-être un confort superflu, mais c’est bien agréable quand on peut se l’offrir. Parce qu’alors, vous pouvez pleinement ressentir votre rôle. »

Burt Lancaster

‘He asked me to stay with him on the set. ‘Settle down, this is your home. Here are your clothes, look at them. In the drawers were the beautiful shirts I was to wear in the film. Refined toiletries made by English goldsmiths at the end of the last century. They were there in a drawer, hidden. The camera couldn’t see them, couldn’t show them. And I said to Luchino Visconti: why can’t we see them? And Visconti replied: ‘These objects are there for you. For you alone. It’s up to you to see them. If you look at them, you will be closer to the character. It’s a luxury I’ve never experienced with other directors. It may be a superfluous comfort, but it’s very nice when you can afford it. Because then you can fully feel your role.’